Entre le moment où l'on foule le sable fin et celui où l'on atteint l'écume de l'eau, il a fallu marcher quelques bons mètres. De franches enjambées vers la mer ont permis d'effacer toute trace de quelconques pensées parasites.La foule, le métro, le stress, la vie à un rythme haletant se sont mis à distance et l'on s'est retrouvé face à soi devant cette immense étendue bleue salée.
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